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Soltana nous présente son coup de coeur jeunesse ! (stage de 3e collège de Flavy du 20 au 24 février 2024)
Lire l'article completVéronique Ovaldé, née le au Perreux-sur-Marne, est une écrivaine française.
Quand elle évoque son enfance, elle la décrit comme étant « belle », et explique que c'est pour cela qu'elle aime se raconter des histoires.
Elle entre rapidement dans le milieu de l'édition après un BTS à l'École Estienne. Elle se lance ensuite dans des études de lettres par correspondance alors qu’elle travaille comme chef de fabrication.
Parallèlement à son travail, Véronique Ovaldé publie son premier roman en 2000 intitulé "Le sommeil des poissons".
Ses ouvrages connaissent un succès grandissant et depuis le début de sa carrière littéraire elle bénéficie d’une reconnaissance de la librairie et de la critique. En 2008, son cinquième roman Et mon cœur transparent est récompensé par le Prix France Culture-Télérama.
En 2009, son sixième roman Ce que je sais de Vera Candida, reçoit le 18e prix Renaudot des lycéens, le Prix Roman France Télévisions 2009 et le grand prix des lectrices de Elle en 2010.
Ses romans sont traduits dans de nombreuses langues (italien, espagnol, allemand, roumain, portugais, anglais, coréen, chinois, finnois, etc.).
Véronique Ovaldé est également éditrice chez Points, responsable du roman noir, de la poésie et de la collection Signatures (groupe La Martinière). Auparavant chez Albin Michel, elle a notamment travaillé sur Le Club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia (Prix Goncourt des lycéens 2009) et de Jusque dans nos bras d'Alice Zeniter.
Elle est connue comme « la reine du mot juste ».
Dans son Anti-manuel de littérature, François Bégaudeau la surnomme la "petite fée des lettres".
L'écriture de cette auteure nous introduit dans un « stream of consciousness » : ses phrases, d'abord courtes, deviennent ensuite plus longues et peuvent s'étaler sur plusieurs paragraphes, même sur plusieurs pages.
En ce qui concerne Ce que je sais de Vera Candida, Véronique Ovaldé soutient que « cet endroit imaginaire [l'île de Vatapuna] est, dès l'ouverture du roman, un condensé d'imagerie latino-américaine, paré de l'éclat factice du réalisme magique », ce qui fait que l'auteure « y trouve un terrain de jeu pour sa propre fantaisie » et, selon ses propres mots : « Il faut qu'il y ait une part d'imaginaire, sinon je me sens contrainte par le réel. Ce que je veux, moi, c'est réinventer le réel ».
Véronique Ovaldé est ainsi une écrivaine qui s'est affirmée grâce à « la force de son imagination. Par cette façon qu'elle a de faire décoller ses lecteurs. De les transporter dans des lieux inventés. Et par cette légèreté de ton qu'elle insuffle à ses histoires tragiques, cruelles ».
Véronique Ovaldé a assuré elle-même la narration de trois de ses romans, aux éditions Thélème :
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Source : Article Véronique Ovaldé de WikipédiaContributeurs : voir la liste